
Istanbul, c'est avant tout un cadre géographique remarquable.Les eaux du Bosphore et de la Corne d'Or découpent un paysage de collines sur lequel se détachent les élégants minarets .

Un des plus beau point de vue se trouve du haut de la tour de Galata: impossible de résister à l'envie d'en tirer un panorama, malgré les bateaux qui viendront mettre la patience du monteur à l'épreuve.

Un des plus beau point de vue se trouve du haut de la tour de Galata

Istanbul mélange pour ses promeneurs l'eau et la lumière. Sur la rive asiatique, avec la complicité de l'orage qui approche, et des vitres qui renvoient les derniers feux du jour...

Istanbul mélange pour ses promeneurs l'eau et la lumière....du côté européen, sur la Corne d'Or aux eaux tranquilles....

Istanbul mélange pour ses promeneurs l'eau et la lumière....un peu plus tôt c'était avec les pêcheurs qui taquinent les petits poissons qui abondent à l'automne....

Istanbul mélange pour ses promeneurs l'eau et la lumière....et enfin en pleine ville, (là, l'eau ne va pas tarder à venir du ciel)

Après l'ambiance générale, le tour des principaux monuments commence par le palais de Topkapi, d'où les Ottomans ont régné sur leur immense empire.

Dominant le Bosphore, Topkapi offre à ses visiteurs ses coupoles , ses salles et ses péristyles décorés de céramiques. On y verra aussi une exceptionnelle collection de céramiques chinoises insi que la garde robe et les bijoux impériaux.

Poursuivons la ballade dans le quartier de Sultanamet, pour y découvrir la basilique Sainte Sophie et son imposante coupole.

A l'intérieur de l'édifice, en cours de restauration, on prend conscience de la hauteur des voûtes au nonbre d'étage d'échaffaudage nécessaires pour l'atteindre.

Mais Sainte-Sophie possède des trésors beaucoup plus accessibles: sur les murs des galleries supérieures se trouvent de magnifiques mosaïques byzantines, telle cette Vierge nimbée d'or

Mais Sainte-Sophie possède des trésors beaucoup plus accessibles: sur les murs des galleries supérieures se trouvent de magnifiques mosaïques byzantines, tel ce Christ Pantocrator.

L'amateur visitera avec plaisir le musée situé près de la Mosquée Bleue, qui contient de beaux specimen de mosaïques romaines, comme ce visage plein de mystère:

Les plus belles se trouvent cependant au musée de Kariye, l'ancien monastère de la Chora, où fresques et mosaïques rivalisent de beauté et de fraîcheur. Les scènes inspirées de la Bible on traversé les siècles et rendues à leur splendeur par une restauration menée dans les années cinquante.

Les plus belles se trouvent cependant au musée de Kariye, l'ancien monastère de la Chora, où fresques et mosaïques rivalisent de beauté et de fraîcheur. Les scènes inspirées de la Bible on traversé les siècles et rendues à leur splendeur par une restauration menée dans les années cinquante.

Pendant notre séjour, Istanbul en pavois fêtait les 80 ans de la jeune république turque. Ambiance de fête dans les rues piétonnes du centre , dans le quartier de Taksim, ou le long des avenues qui bordent le port.

Pour la circonstances, la célèbre rue piétonne Istiklal caddesi (rue de Péra) dans le quartier de Beyoglu était plus animée que jamais.

On y trouve la sympathique petite ligne de tramway, démantelée dans les année 60 et reconstruite vers 1990, qui donne à cette artère marchande un charme particulier. S'y promener par temps ensoleillé est très agréable, et on y apprécie d'y prendre un peu de distance avec la circulation automobile omniprésente.

A quelques pas de là, le quartier des poissonniers dresse ses étals pour les amateurs stambouliotes.

On y trouve aussi (mesdames à vos échevettes!) une petite boutique qui vend de la soie à broder, de laquelle j'ai un du mal à extraire ma compagne.Une pensée pour cet endroit qui a été ravagé lors des attentats de fin novembre 2003, puisque le palais d'Angleterre qui était visé est très proche du marché au poisson.

Impossible de quitter Istanbul sans avoir fait un tour du côté du Bazar Egyptien (parce que construit avec le fruit des impôts levés au Caire à l'époque?) , qui date de la fin du 17iéme. Il est, comme le Grand Bazar, malheureusement envahi de boutiques de luxe, mais on y trouve encore des épices et des pâtisseries plus tentantes les unes que les autres.

Pour retrouver la couleur locale, il faut aller à l'extérieur du bazar, où on peut enfin dénicher dans un sympathique pêle-mêle l'objet indispensable: pour nous ce fut une casserole spécialement destinée à la préparation du café turc.


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